1000 ET UNE ERREURS
(Partie 5)
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Ça y est, je me vois
tel (pas Guillaume !) Léonard de Vinci peignant
la Joconde, sauf que je ne sais pas peindre... gloups !
Bon, ben c´est pas grave, on va quand même
essayer. Un coup de peinture grise pour faire le
fond, un peu de blanc pour faire ressortir les reliefs, un
chti saupoudrage d´herbe et trois sapins pour voir ce
que ça donne.
Mmmhhh... d´accord,
c´est un peu gris et peut-être un chouïa
agressif. On verra comment améliorer par la suite. En
attendant je me plonge à corps perdu dans le
peinturlurage gris souris de mon papier. En passant, une
petite photo panoramique. Je crois que je ne vous
avais point encore montré l´ensemble du
tableau.
J´entends
déjà les détracteurs du plat de
nouilles, les fervents défenseurs de la voie unique,
s´indigner devant cette amas de voies. Que
m´importe ! Le plaisir étant de se faire
plaisir, c´est ce que je fais pour mon plus grand
plaisir !!! Ne dit-on pas « à chacun
sa chacune » ? Donc autant de styles que de
maquettistes. Ce qui est plutôt réjouissant,
car c´est de la diversité que naît le
plaisir de se côtoyer ;—)
Bon, pendant que
j´écrivais toutes mes bêtises,
voilà que mes pots de peinture se sont
miraculeusement vidés, que quelques
caténaires ont poussé comme des
champignons sur ma gare d´altitude et que mon
avant-dernière montagne a fini de pousser. C´est
beau l´écriture, c´est comme la foi,
ça soulève des montagnes ;—)
Ppppffffff, j´en ai
encore les pinceaux qui tremblent. D´ailleurs
j´arrive plus à les arrêter. J´y
retourne. Prochaine épisode, la neige sur les
cimes. Entre gris et blanc, mon coeur balance...
Amicalement...
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