 |
| Pour comprendre la genèse de ce projet de village, retournez
voir les pages précédentes ! |
“Là-haut sur la colline...” |
|
Cliquez sur les photos pour les voir en plus grand.
|
Les très vieux lecteurs de Ptitrain
se souviennent de la colline en papier journal (c´était en mars 2000 mais —
miracle du Web — on peut encore le lire ici,
en quatre parties et gratuitement  ),
et aussi de l´art de ne pas se faire mal aux reins en préfabriquant le décor
assis à son bureau (c´est là, en deux parties)...
Après quelques années de figuration comme simple butte
de terre, ladite colline  va prendre vie grâce à l´opération
“Village de France”, qui (si l´on en croit les statistiques de lecture
de notre site) remporte les faveurs de presque tous nos lecteurs !
L´idée de placer la première des “maisons jumelles”
sur une hauteur a germé à la vue de ce perron de quelques marches qui eût été déplacé
dans la partie basse du village.
|
|
|
|
|
 |
|
Les fondations de la maison ont été creusées “pour de bon”, puisque le terrain qui l´accueille
est en forte pente. L´usage du papier journal encollé pour la fabrication du relief s´est avéré
formidable pour le creusement de ces fondations. La croûte papier + enduit a été
découpée sans souci à la mini-perceuse équipée d´une scie circulaire,
fignolages au cutter et à la râpe... jusqu´à ce que le bâtiment s´encastre bien
horizontalement... |
|
|
|
|
Le pavillon M.K.D. a été “personnalisé”
par l´ajout d´une cheminée (un simple bout de carton-plume, les poteries 
provenant d´un assortiment de surplus de décolletages (proposé gracieusement sur la liste Ptitrain
il y a quelques mois par un de nos amis suisses, et mis précieusement de côté depuis, au cas où...). |
|
 |
|
Pour le mur, le fait qu´une des faces du carton soit pelucheuse
est intéressant : ça représentera le grain du ciment. L´autre face est glacée et
donc facile à coller au Scotch double-face sans support.
Les trous disgracieux (flèches  )
entre le mur et le sol seront évidemment cachés par des végétations à venir. Entre nous,
je crois que le défaut le plus agaçant sur nos réseaux, c´est l´espace parasite entre
le sol et les bâtiments. On ne veut jamais les coller, on veut qu´ils restent amovibles (par exemple pour
changer une ampoule...) et du coup le syndrome du bâillement entre maisons et terrains frappe de manière sauvage
les réseaux les mieux travaillés...).
|
|
|
|
|
 |
|
Autres essais : des hautes
herbes (voir B.B.F. (1), tirées de poils de pinceaux au rencart ; un muret
en pâte à modeler (B.B.F. itou) ; des pavés
“clapés” et imprimés sur du papier souple (ce qui permet d´habiller un terrain
même accidenté, voir la page Clap) ;
des glycines grimpantes (fils très
fins tirés de câbles scindex multi-brins 220 volts, torsadés, peints à l´acrylique,
floqués avec du “médium”)...
|
|
|
|
|
Les buissons (
flèches) sont fabriqués d´une manière qui vous sera dévoilée ultérieurement,
de même que les escaliers  et
les barrières ...
Tout cela, bien sûr, nous a donné soif — buvons
donc un coup, à la santé des ptitrainistes !
|
|
 |
|
Les numéros 9, 10 et 11 de Village
de France sont parus.
Des couleurs toujours aussi chatoyantes, des couvertures toujours aussi inédites ;—(((
C´est à se demander comment des lecteurs peuvent être attirés au point d´acheter ces
trois magazines sans penser que c´est le même numéro qui est en kiosque depuis six semaines !
  
Au chapitre “Ptitrain est
mauvaise langue”, avouons que la quatre-chevaux n´est pas une Eko mais une Norev ! Comparée
à la Busch dernière-née, les cotes sont les mêmes. Seuls la peinture et les chromes semblent
distinguer la Busch, mais c´est quand même le jour et la nuit. Quant au sapin, il est inutilisable en premier
ou moyen plan.
Au chapitre “On n´est pas les seuls à le penser” :
20 euros pour une seule maison, et d´un un modèle aussi simpliste, ça commence à faire sérieusement
râler (quasiment plus d´avantage pécuniaire sur un achat de kit M.K.D.)...
|
|
Ce mur
en plaques de ciment est fait en carton de boîtes de biscottes (Cracottes Heudebert). Il n´est certes pas
conseillé par les spécialistes (cf. 
