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| Doublon, humeur et “kitbashing”... |
La parution de la série continue régulièrement  ,
certains abonnés s´étonnant même qu´on y publie maintenant des maquettes non prévues
au “plan d´occupation des sols” du début !
Ce qui nous a irrités, nous, ça a plutôt été
l´arrivée avec les numéros 27 à 29 d´une “fabrique de meubles” 
en presque tous points identique au garage  des numéros
16 à 18.
Mais, ce premier mouvement d´humeur une fois contrôlé,
nous est apparue avec ce doublon la possibilité de faire... de deux pierres trois coups, en nous livrant à
la pratique du “kitbashing”, art de combiner les pièces contenues dans
deux kits pour en faire un troisième, différent et personnalisé. Et comme nous n´avions
que faire de meubles mais que nous manquions de matériaux pour notre usine I.R.G.P.T. (voir l´article Furtif
2b “Dites oui aux patrons”), nous avons commencé à gâcher la colle...
 Notre coin de réseau destiné à cette usine de fabrication
de câbles télégraphiques est à l´état d´étude : 
des masses de carton prennent de la place afin de mesurer l´effet produit. Même la cheminée, de forme
(exceptionnellement) carrée, est prête pour en juger de la hauteur  .
Par quoi allaient être remplacés ces fantômes ?
L´occupation au sol, en tout cas, est à observer au millimètre
près, aussi la première opération va-t-elle être de reporter sur papier les cotes de l´usine
M.K.D.-Village de France et de les comparer avec l´encombrement
disponible sur le réseau.
Voilà un des bâtiments placé ;
un second va être “inventé” à partir de pièces du kit, ce sera ce petit bâtiment
accueillant les services d´expédition des marchandises et qui sera muni d´un quai haut, donnant sur
la voie ferrée, protégé des intempéries par un toit débordant.
Un décrochage est prévu entre les deux parties pour respecter
le plan. Les bâtiments sont collés, avec des renforts
faits de chutes de plastique (car la colle fait à la longue “travailler” les parties collées
en les tordant littéralement ; ces torsions prenant des années mais étant hélas spectaculaires,
il faut les empêcher dès le début de la construction !).
Enfin, le plaisir d´imiter enfin ce que je lis depuis trente ans
dans mes magazines (et par exemple dans B.B.F...),
faire du bois avec du plastique ! Je marque au cutter “Olfa
P-450” les creux entre les planches, puis encore des coups de cutter fins pour créer les veines du bois...
Et une mise en place pour le coup d´oeil...
Attaquons maintenant la cour de l´usine... 
À suivre ! |
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Ptitrain 
