Les modèles de Marc Neyret
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Connaissez-vous
déjà Marc Neyret, “amateur
constructeur”, membre de l´A.M.F.I. ?
Cet ancien comptable et joueur de bandonéon présentait
à Gennevilliers une petite poignée de ses incroyables
modèles H0 — hélas ! dans une vitrine dont
l´éclairage effrayant (1) a rendu les photos qui suivent
de quasi-miracles (mais pourquoi regretter de passer trente minutes
à retoucher la photo d´une loco, la 232-Q à
turbines, qui, elle, a demandé sept ans de travail !!!).
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Son
040-DA Baldwin
possède un véritable embrayage centrifuge, ce qui
fait que son moteur tourne bien avant qu´elle ne commence
à avancer. Comme ce moteur entraîne aussi un “ventilateur
bruiteur” (basé sur le principe du morceau de carton
que nous mettions dans la roue de notre vélo pour imiter
une mobylette !) on entend le son du diesel, puis c´est
le démarrage, lent et majestueux...
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La 232-Q-1
(surnom : Locatu,
“locomotive à turbines”) sur son petit coupon de
rail, ce qui ne permettra pas de la mettre réellement en
marche...
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Marc
Neyret, un briquet allumé
dans la main... Non, il n´est pas en train de mettre en chauffe
la 232 — il tente simplement... de s´éclairer
pour la mettre sur les rails ! Ci-dessus, le plan
de l´organisation interne de cette machine réellement
à vapeur vive... et électrique.
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Carrosserie en
maillechort, sablé “avec des billes de verre déjà
usées” pour obtenir un grain mat...
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Du
laiton, du cuivre, du maillechort, de l´acier... Il y a 1360
pièces en tout, pour un poids total de 915 grammes.
Et il faut que ça résiste à la chaleur de la
chaudière...
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Ouvrez
vos yeux, la belle va ôter sa jupe !
Marc Neyret, pour le plaisir de Ptitrain,
va déshabiller entièrement sa machine ! On dévisse
simplement les quatre tampons, les carrosseries coulissent horizontalement
de quelques millimètres et c´est fait !
Et on la repose sur les rails (c´est le plus dur ;¬)
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Le
moteur électrique (d´origine Fleischmann), débrayable,
est utilisé pour rouler sur les réseaux des amis. Si
le roulement est bon et les rayons de courbe satisfaisants, alors
on débraye et on coupe le courant — on embraye alors le
premier essieu de la loco, et c´est le butane et la vapeur qui
prennent le relais. Il suffisait d´y penser, n´est-ce
pas ?
Cliquez sur les photos pour les voir en gros, ça en
vaut vraiment la peine ! |
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