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Une fois qu´on a tout
bien dessiné, réfléchi, inventé, acheté... il faut bien fabriquer !
Et là, le bavard le plus invétéré (votre serviteur, par exemple) se
trouve sans voix ...
Des heures, des jours
à coller des bouts de carton (ici le
bristol qui sera le patron pour découper une future rue du village), à peindre, à découper
(le plus long et le moins jouissif : des bordures de trottoir...).
Mais bien sûr, c´est
aussi — enfin ! — la concrétisation des plans accumulés
depuis une quinzaine d´années (!)... et on a beau dire, assisté par
ordinateur ou pas, un plan, c´est du bidon à côté du vrai.
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C´est la révélation
des erreurs dues à l´excès d´optimisme, des surprises
dues à l´excès de
pessimisme (plus rares), des essais in situ des perspectives forcées,
des à-peu-près, des clapages... Des
tests de circulation en courbes avec des voitures très très longues...
Dans la boîte à camembert
, des arbustes et des
fourrés en... mie de pain (peinte en vert puis floquée) :
la tenue dans le temps des ingrédients culinaires est toujours un sujet
de controverse chez les modélistes — aussi n´avons-nous jamais mis cette
idée sur le tapis, ni celle concernant la récupération des poils d´artichauts...
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... et servant
de gabarit de découpage ( ici
ce sont des trottoirs, la rue ayant une forme tourmentée
due à un “trou d´homme” camouflé). |
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 Toujours
aussi satisfait de l´idée (piquée à un “cuisiniste” de
chez Mobalpa) :
les “patrons” faits de petits bouts de carton encollés
ensemble puis démontés...

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Content
aussi d´avoir des décors démontables ( ici
ma bonne vieille colline
en carton) et donc “fignolables” sur
le coin du bureau (vous vous souvenez que mon réseau est du
type tour de pièce,
mais à deux
mètres du sol environ...).
Voici donc de mes
nouvelles : au turbin, pour trois ou quatre mois d´affilée
(sauf un éventuel ras le bol soudain et imprévisible) mais
sans beaucoup de copie pour Ptitrain... |
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