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Là-haut sur la colline...
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Encore les équerres “maison”pour maintenir le plume et le plastiquependant le collage des plaques représentant la pierre de taille... |
Ne cliquez pas sur cette photo pour l´agrandir ! Car le rail Peco code 100, non encore ballasté et décoré, ne “passe” pas à la photo gros plan ! ! ! |
À mi-chemin entre les feuilles de carton estampées de notre enfance (mais ça se vend encore, je crois, chez Vollmer !) et les reliefs en plastique épais sus-cités, les plaques Slater´s sont très fines (0,6 mm), en plastique facile à travailler, à couper (juste deux passages du X-Acto n° 11), à tordre (pour habiller des surfaces gauches), à percer (la plaque Slater´s collée sur du plume de 5 ou 10 mm est facilement trouée par une lime à section carrée pour figurer un trou d´écoulement d´eau). Leur prix est très léger aussi : 0,44 euro/décimètre carré, contre 1,7 pour du Vollmer (presque 4 fois plus ; prix pratiqués par deux de mes fournisseurs habituels). À Paris, on en trouve chez le très sympathique et très bien achalandé Décotrain (un des “quatre mousquetaires” de la rue de Douai, dont je ne saurais trop conseiller la fréquentation) ; en V.P.C., Railway et Zébulon vous en fourniront. Il y a de nombreux reliefs différents, dont beaucoup exclusifs : un bel “opus incertum” (réf. 421), de la tôle antidérapante (453), des briques, des pavés, des tôles ondulées pour toiture, des carrelages, des graviers, et la pierre de taille (411) dont je me sers aujourd´hui... |
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UN TRUC, EN PASSANT... Un ski pour le ballast !
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Il nous faut à longueur de journée
reporter sur notre planche de base, sur notre ballast en liège ou en Depron, les dimensions de notre voie, soit
la largeur des traverses augmentée de la largeur de la pierre du ballast... |
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À gauche, la fin des travaux -- en attendant la finition, la vraie
peinture et le floquage, dans quelque temps... (N.T.M.= nouvelles technologies du modélisme :-))) |
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Donc, quelques petits coups de peinture, suivant les recettes bien connues de l´“atmosphère” : acryliques à l´eau brun, bistre (appliquées au pinceau, brosse large), gris ciment, blanc (pinceau), noir (passées à l´éponge tapotée), enfin gouache acrylique vert sombre (au “pinceau sec”, drybrushing) et très légère couche de flocage vert très fin (Heki, Woodland Scenics) sur lit de médium mat, pour les mousses qui envahissent cette tranchée où le soleil ne brille jamais... Pour l´“atmosphère” et sa reconstitution en peinture, voir, comme toujours, Bons baisers de Ferbach de Jacques Le Plat, une bible qu´on ne doit jamais refermer :-))) |
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