| But | Principe |
Pratique | Matériel | Photos |
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 Cette page est la troisième d´une
série nouvelle (mais pas destinée à remplacer les autres), que nous
vous présentions il y a quelques jours. Le but, pour ce troisième test,
est de simuler, avec le plus petit des microcontrôleurs
de la famille des PIC de Microchip, un montage que nous
avons déjà effectué il y a au moins six ans : un séquenceur
autour d´un compteur CMOS 4017. Les ptitrainistes ont
recopié et aménagé à plus soif ce montage ! Jusqu´à
motoriser un camion-grue forestier avec des fils
à mémoire !
Pourquoi alors le simuler ? En fait, à
titre d´entraînement pour l´utilisation des PIC en Basic ! Seul,
sans environnement et si on ne lui prévoyait pas des développements prodigieux,
le montage d´aujourd´hui ne serait pas “compétitif”...
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Un schéma de principe est inutile
quand on parle de PIC, puisque tout est “à l´intérieur”.
Pour notre première page, néanmoins, voici d´abord à titre de
rappel  le schéma à base
de 4017 et d´une horloge à 555 :
 
Et maintenant (pas besoin d´ouvrir un logiciel de dessin pour si peu) la même
chose (à peu près, il y a une led de plus ; les résistances
sont de 470 Ω puisque la tension d´alimentation est plus faible (5 volts
au lieu de 12) : | |
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Ceci
n´est pas
une initiation
aux PIC ! | | Nous
insistons encore une fois sur le fait que nous sommes dans
une série d´initiation au Basic et pas dans un espace d´initiation
aux PIC ; pour cela le lecteur devra consulter et comprendre autant que possible
(sans quand même s´abrutir) les pages d´initiation à l´assembleur
de PicTrain et de Psi,
qui est à l´origine de cette présente page. C´est
ici que ça a commencé, et il faut y aller voir.
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Voici le programme qui fait de notre
PIC un séquenceur comme le cpt4017b :
Nous prenons l´habitude
de bien documenter nos programmes
afin qu´ils soient le plus autonomes possibles (en un mot imprimer et archiver le
code plutôt que quatre pages du baratin l´accompagnant 
(le programme tout entier sera bien sûr téléchargeable). |
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avez remarqué que l´allumage des leds se fait encore grâce au registre
de sortie GPIO (il n´y a d´ailleurs pas d´autre moyen possible !)
mais les commentaires nous indiquent le caractère imprévisible
du 675 au sujet de son GPIO (voir la note 3 dans le programme  ) ;
nous avons donc découpé en plusieurs étapes l´utilisation de
GPIO :
 Premier
temps : préparation (dim) d´une variable
octet (byte = 8 bits) nommée IO_Reg
(ligne 3) et remplissage de cette variable avec un zéro (ligne 10).
Deuxième
temps : nous décidons du schéma de bits. Par exemple %00000001 :
le bit tout à fait à droite est le bit numéro zéro (on compte
toujours à partir de zéro en informatique) ; de sa mise à un
dépendra l´état de la led numéro zéro.
Troisième
temps : on saisit ce nombre binaire (le signe % nous avertit que c´est du binaire)
à l´intérieur d´un registre provisoire nommé IO_Reg :
IO_Reg = %00000001 (ligne 14).
Quatrième
temps : on recopie d´un bloc (ligne 15) ce nombre
dans GPIO, ce qui ne pose jamais de problème : GPIO
= IO_Reg. La led numéro zéro s´allume.
Ainsi est évité le souci
potentiel d´une modification directe bit à bit de GPIO (voir la liste
Ptitrainmatique, messages n° 8810 par Raymond Charlet et 8816-8817 ; ainsi
que d´innombrables complaintes sur le web). |
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Le
même que page précédente : un PIC 675, trois leds, trois résistances
et votre quincaillerie de développement préférée, si vous
n´avez pas encore une carte EasyPic 
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Ptitrain 
