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Cette année, il a eu lieu les 30 septembre et 1 octobre 2006. (Les participants sont présentés par ordre alphabétique.)
L´A.B.P.M., aidée de quelques membres de la C.M.C.A.S. (dont le réseau est montré plus loin), anime tout l´été le réseau L.G.B. implanté dans le centre de vacances d´E.D.F., à Arès, sur le bassin d´Arcachon. Voici une petite partie du matériel. |
 La famille Bajan de Mont-de-Marsan (Modélisme montois) présentait son complexe associant le train (H0) et le ferry. Le bateau manœuvre pour embarquer les rames de train, fait un tour de bassin et revient à quai pour décharger les trains. L´ensemble mesure environ 12 x 5 mètres. |
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Philippe Bizel, spécialiste du “patinage” exposait un dépôt vapeur, et quelques autres éléments à l´échelle H0, avec une belle patine. |
 Le Cercle ferroviaire de Guyenne et Gascogne de Bouglon (Lot-et-Garonne) était représenté par Daniel Bonnin. Daniel est un grand joueur (son mail) devant l´éternel, et aussi amateur de L.G.B. Il présentait une série de jeux de type “Timesaver”, pour faire fonctionner les méninges tout en s´amusant. Il utilise une alimentation haute fréquence pour ce faire.
 Paul Cendret présentait le réseau transportable du C.F.P.A. (Club ferroviaire du pays de l´Alzou) installé à Laneujouls. La ligne industrielle de Marcillac-Vallon à Firmi était établie en voie de 0,67 m. Elle alimentait en minerai de fer le bassin de Decazeville.
(Voir aussi une autre page presque toute consacrée au C.F.P.A.) |
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 Le réseau composé de 6 modules mesure 6,6 m. Il a été construit en H0m (échelle 1/87 métrique) en voie Bemo de 12 mm sur le principe du réseau vitrine, une voie en façade avec un retour entièrement en tunnel, et gare souterraine sous le village. Il est radiocommandé (traction et aiguillages). À l´exception des locomotives, de marque Tillig, le matériel roulant a été entièrement réalisé par les membres du club (wagons et baladeuses sur base Jocadis). |
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Œuvre du C.F.P.A., ce réseau en Z tourne dans une lampe de fin de convoi. |
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 Jean-Luc Clémenceau du club Eguille Model Club présentait trois réseaux en N et H0, dont deux sont visibles sur les photos. Le réseau H0 de 2 m par 2 m a été construit en trois mois. La partie centrale est amovible permettant plusieurs décors. Une commande numérique gère le trafic. |
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Le club de modélisme ferroviaire de la C.M.C.A.S. de Bordeaux présentait son réseau modulaire en H0 de 12 x 1,53 m. Il est composé de 6 modules normalisés de 1,22 x 0,61 m, et de 6 raquettes de 1,53 x 0,76 m. Le circuit visible comporte 43 mètres de voie. Une coulisse supportant deux voies de 7,20 m permet la préparation et le stockage de 6 convois.
 Le réseau de la C.M.C.A.S. a accueilli deux créations de Claude Prunet, ci-devant membre du club. La première était la sonorisation par des annonces en gare de Sabres. La gare de Sabres est dans les Landes (40). Elle permet d´accéder en train à l´Airial landais de l´écomusée de Marquèze. C´est l´un des thèmes du réseau. |
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Claude avait installé son logiciel “Pilotrain” associé au système “Decodbarre”. Ce logiciel permet de moduler la vitesse du convoi, de l´arrêter, de le faire démarrer, de minuter l´arrêt, et de lancer les annonces sonores que l´on entend habituellement dans une gare. |
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Sont ici rassemblés, avant montage, les trois éléments constituant le système Decodbarre :
 (1) le capteur à réflexion CNY70 (led IR émettrice et réceptrice),
 (2) l´interface qui amplifie le signal,
 (3) le répondeur avec un PIC (microcontrôleur) programmé qui reconnaît le code barre. Le répondeur est relié à l´unité centrale EDiTS Pro, et à l´ordinateur. Les annonces en gare sont des fichiers WAV que l´ordinateur envoie dans des haut-parleurs. |
 Le capteur CNY70 affleure la voie. Sous la motrice le code-barre identifie le convoi. Ce code peut être lu quel que soit le sens de passage.
 La seconde création conçue par Claude est le “T.C.O. ultime”. Il s´agit d´une commande numérique qui permet de gérer un petit réseau sans ordinateur, suivant l´un ou l´autre des protocoles D.C.C. ou Motorola. En mode D.C.C., le T.C.O. ultime permet :
 l´adressage de 255 locomotives, sur une voie de programmation,
 le positionnement de 1 à 64 aiguillages, signaux ou relais de commutation (255 adresses disponibles) manuellement par bouton poussoir ou interrupteurs sur le TCO,
 la programmation de 1 à 14 itinéraires comportant chacun de 2 à 8 aiguilles,
 la conduite simultanée de 1 à 8 locos avec activation de 4 fonctions par bouton poussoir. Un site (en gestation) présentera, dans un futur proche, toutes les réalisations de Claude. |
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