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Montage 9 |
Montage 10 |
Montage 11 |
Montage 12 |
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 Dans la page précédente,
nous avons vu comment utiliser les entrées de commande du 4029 et du 4017. Aujourd´hui, nous allons
simplifier la commmande par boutons-poussoirs, monter en cascade plusieurs compteurs... et faire du bruit  !
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Montage 9 |
Montage 10 |
Montage 11 |
Montage 12 |
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Montage
9 : jusqu´alors nous avons commandé le sens de la “rotation” (comptage ou décomptage)
par un interrupteur et l´avancement (ou, donc, le recul) par un bouton-poussoir (ou assimilé :
contact de relais, pédale...)  .
Mais il serait tentant d´avoir, dans certaines circonstances,
une commande plus simple, à deux poussoirs : l´un pour compter, l´autre pour décompter...
Ça n´est pas très compliqué et ne demande
que les quatre portes “non-et” d´un circuit logique 4011, avec le schéma ci-dessous  . |
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Plus tard, on saura aussi faire en sorte que l´appui prolongé
sur un des boutons-poussoirs produise une répétition automatique, après un petit moment de latence :
tout comme sur le clavier de votre ordinateur ! Le montage en est incroyablement simple
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| But |
Montage 9 |
Montage 10 |
Montage 11 |
Montage 12 |
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Montage 10 : si vous voulez plus
de 16 sorties, il faut “chaîner” les super4017, les monter en cascade.
Le montage ci-dessous n´a pas été testé par Ptitrain,
mais il figure dans tous les data sheets* des constructeurs du 4029.
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Montage 9 |
Montage 10 |
Montage 11 |
Montage 12 |
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Montage 11 : non, le super4017
n´est pas limité à la transmission de signaux logiques 
ou  ! Il peut s´occuper
aussi de signaux alternatifs, donc de sons et de musiques !
Non, le super4017 ne fonctionne pas que dans le sens “une entrée,
seize sorties”, il marche aussi bien dans l´autre sens : seize entrées,
une sortie !
(Le schéma ci-dessus est un projet de principe, ne tentez
pas de le fabriquer dès aujourd´hui.) Notez, d´abord, que l´horloge avec le 555 ne tictaque
que toutes les dix secondes. Ensuite qu´un sous-circuit injecte du “hasard” (nous verrons plus tard
en détail cette notion). Ainsi, toutes les dix secondes, un son (meuh, oua-oua, note de musique, tout cela tiré
par exemple de modules L.M.J...)
est transmis d´une des entrées vers la sortie unique, la durée de ce son variant de zéro
à dix secondes selon le circuit “hasard”. Au final, un ampli basses fréquences (B.F. = fréquences
audibles) permet à notre Cmos de faible puissance d´attaquer un haut-parleur, quel qu´il soit.
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