 Quelle
aventure que d´explorer les banlieues franciliennes ! Le G.E.M.M.E.
avait eu beau publier un plan précis de la région, c´était
sans compter sans les bizarreries de l´aménagement du territoire
— ce week-end, il n´y avait pas de numéros de sortie sur les
panneaux autoroutiers 
De plus un brouillard à couper au couteau recouvrait les mornes plaines
(voici le Grand Dôme vu de près  ) |
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Mirages dans la brume au détour d´un chemin de forêt : 
une loco et une gare fantomatiques, “Villebon-État” !
Merci donc à la D.D.E. de m´avoir fait faire dix kilomètres
de trop... |
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Enfin
arrivé !
La grande salle accueille la grande foule, mais tout est bien organisé,
les allées sont larges... L´affiche d´Expométrique
2002  telle qu´on
la connaissait, et à côté telle que Bernard
Junk l´a recomposée “en relief”  ...
Dans sa remise, 
la vaillante bouillotte (même le balai est là...), les bidons,
les briquettes... |
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| Les
tout débuts du chemin de fer, dans la banlieue
de Saint-Étienne... C´est sur le réseau de l´A.S.M.F.A.
(Association de sauvegarde du matériel ferroviaire ancien). |
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Au début (1828) les wagonnets chargés de charbon
descendent par simple gravité et sonr remontés à vide par
des chevaux... La région, c´est aussi le travail du fer (admirez...
un wagon d´enclumes
 ) grâce aux
forges |
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| La
locomotive Marc-Seguin de fabrication maison (1832)
tracte un “convoi
rail-route” avant la lettre : caisses de diligences et voitures à
chevaux étaient hissées sur des wagons plats par des portiques
à palans.
La gare est la reproduction au mètre près de celle de Terrenoire
(vallée du Giers ). |
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| Qui
habiterait dans une maison située
au-dessus d´une entrée de tunnel ? Mais, le gardien du tunnel,
bien sûr, qui ouvre les portes au passage d´un convoi et les referme
ensuite, assurant par-là même la protection des circulations ! |
Ptitrain 